RATP, qui sont au nombre de 24, et dont les capacités vont de 80 couverts/service, pour les plus petites unités, à 1 300 repas/service pour le siège de Bercy. Les machines sont installées dans des salles de repos, voire même dans des espaces qui leur sont spécialement dédiés. Comme l’explique Thierry Lanusse, trésorier et responsable restauration du CE, le litige portait sur leur maintenance, les machines étant propriétés de la direction mais exploitées par le comité d’entreprise. Les deux protagonistes se renvoyaient la balle pour la charge financière de leur entretien. Depuis octobre, un accord a été trouvé et le CE prend en charge ce coût. En 2007, cette restauration de proximité devrait prendre une autre forme. Car, voulant profiter de l’anniversaire de la naissance des comités d’entreprise – Thierry Lanusse rappelle qu’ils ont été créés en 1947 par le conseil national de la résistance -, le CE de la RATP pense à développer dorénavant des concepts de snacking.