Atelier surgelés, appertisés et épicerie : il faut différencier petites et grosses collectivités, avec des cahiers des charges adaptés, avoir des moyens de contrôles fiables et permanents (notamment à la réception des produits). Les produits doivent être analysés, dégustés, avec l’implication éventuelle de la diététicienne. Le type d’emballage pourrait être défini : carton et plastique collés posent des problèmes de tri des déchets. Une demande porte par ailleurs sur le développement des étiquettes détachables pour aider à la gestion et à la traçabilité.
Atelier produits laitiers, produits de la mer et nouveaux produits : les notions de qualité du produit et de qualité du service et du suivi prédominent de plus en plus dans les critères. Reste le problème de l’évaluation de la qualité du produit (le groupement de commandes peut être un plus). Il faudrait par ailleurs pouvoir introduire plus facilement des produits typés, comme l’époisses ou le reblochon pour les fromages. Et comment faire connaître des produits
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