Pour ses dix ans, « La Ruche qui dit Oui ! » a décidé de se lancer dans le BtoB.
L’enseigne propose désormais un nouveau service « La Ruche qui dit Oui ! Chez les pros » spécialisé dans l’approvisionnement des cantines et des restaurants en produits locaux et de saison.
Les relations entre l’entreprise et les professionnels de l’alimentation se feront à travers la plateforme Viaterroirs.com.
Ce projet survient notamment après le vote de la loi EGALIM, prévoyant au moins 50% de produits durables et de qualité dans les menus des cantines d’ici 2022.
Après Sceaux en février et Bois-Colombes en juin, « La Ruche qui dit Oui ! » ouvre également un nouveau point de vente à Vincennes proposant plus de 300 références de produits (fruits et légumes, laitages, viandes…), tous issus d’Ile-de-France. Trois autres établissements feront leur ouverture avant la fin de l’année.
Ces différentes avancées suivent l’objectif premier de l’entreprise, à savoir : rendre les circuits courts de produits alimentaires plus accessibles. Grégoire de Tilly, président de « La Ruche qui dit Oui ! » avance d’ailleurs que « Pour les 10 prochaines années, la Ruche va accélérer son développement en se lançant de nouveaux défis.
Notre premier défi est d’embarquer de nouveaux consommateurs dans cette autre manière de commercer directement entre producteurs et consommateurs ; au sein des Ruches d’abord mais aussi en facilitant l’accès direct aux producteurs avec la livraison à domicile et les boutiques.
Notre second défi est de montrer en quoi la Ruche participe directement à une transition écologique nécessaire à plus grande échelle.
Nous nous adressons désormais aux professionnels de l’alimentation pour élargir l’accès aux circuits courts, et les sensibiliser à une alimentation vertueuse.
Le modèle de la Ruche est un modèle local, fondé sur un juste partage de la valeur, et sur l’impact positif que nous avons sur l’environnement. Nous sommes une véritable alternative aux excès de l’industrie de masse, et nous pourrions à l’avenir contribuer à révolutionner d’autres secteurs que l’alimentation. J’en suis convaincu”.L.R.
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