Elior Group dévoile ses résultats relatifs au 1er semestre de l’exercice fiscal 2020-2021 (clos au 31 mars 2021). Si ces derniers sont toujours impactés par la crise sanitaire, le groupe parvient à maîtriser ses coûts et à renforcer son niveau de liquidité.
Sur la période, le CA est de 1 869 millions d’euros (soit une contraction organique de -22,3 % par rapport au 1er semestre 2020). Les perspectives commerciales sont quant à elles en forte hausse, et le taux de rétention de 91 % reste stable. L’EBITA ajusté des activités poursuivies du Groupe correspond à une perte de -25 millions d’euros (comparé à un bénéfice de 52 millions d’euros 1 an auparavant). L’impact ajusté de la perte de CA sur ce dernier est de 14 % à taux de change constants – contre 22% au 2ème semestre de l’exercice précèdent. Le flux de trésorerie disponible positif sur le 1er semestre se révèle quant à lui à 31 millions d’euros.
Enfin, la liquidité disponible au 31 mars 2021 est de 819 millions d’euros (après mise en place d’un PGE de 225 millions d’euros, comparé à 630 millions d’euros au 30 septembre 2020).
« Un peu plus d’un an après les premières mesures de confinement en Europe et aux États-Unis, la pandémie de Covid-19 continue d’impacter nos métiers », déclare Philippe Guillemot, DG d’Elior Group. « Nos équipes sur le terrain restent mobilisées pour s’adapter aux besoins de nos clients. Résolument tournés vers l’avenir, nous continuons aussi à accélérer notre transformation, à l’image de l’acquisition de la start-up Nestor, spécialisée dans la préparation et la livraison groupée de repas de qualité en zone urbaine. C’est en anticipant les besoins de demain que nous serons en mesure de profiter pleinement du rebond d’activité en sortie de crise.
A court terme, le degré d’avancement des campagnes de vaccinations et l’assouplissement des mesures sanitaires qui en découle nous laisse envisager, pour le second semestre de l’exercice fiscal en cours, des tendances d’activité contrastées selon les différents pays où nous opérons.
A moyen terme, dès la levée des contraintes sanitaires, grâce à une offre très bien positionnée et une structure de coûts opérationnels optimisée, je reste très confiant dans notre capacité à revenir à un niveau de croissance solide et à améliorer nos marges d’avant crise. »
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