Restauration Collective

VERS PLUS DE COHÉRENCE ET DE RATIONNALITÉ

de restauration de Reims répond à toutes les demandes, au plus près de ce qui est demandé», reprend l’ingénieur restauration, ce qui est «à la fois un point fort et un point faible». Aujourd’hui, «on ne dit pas seulement que le repas est un soin (c’est acquis), on dit : définissons-le». La restauration hospitalière, plutôt décriée, marque des points sur certains plans. «Intégrer davantage les diététiciens dans les services de restauration», par exemple, est important. La responsable du Cercle du Personnel à Reims est d’ailleurs diététicienne. Il y a aujourd’hui «une évolution de la place des diététiciennes» qui est un «bénéfice».

La démarche d’accréditation s’inscrit également dans ce cadre d’amélioration, même si elle «amène énormément de travail», admet Rémi Lepage, qui a déjà vécu la procédure au C.H. Léon Bérard à Lyon. A Reims, elle «a généré l’embauche d’une ingénieure qualité» (générale pour le CHU).

Le C.L.A.N. (Comité de liaison alimentation nutrition) a quant à lui été mis en place en 2000 et a permis de «rassembler des gens de divers services». Une synthèse de ses objectifs a été réalisée par rapport au projet d’établissement. Parmi eux : la sensibilisation du personnel de proximité à l’alimentation, l’identification de l’état nutritionnel de tous les patients, l’amélioration de la prise en charge des patients nécessitant une alimentation artificielle,…

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