Restauration Collective

LE CHU DE BESANÇON PRONE SES CHOIX

une évolution sensible. « Les métiers ont évolué », reconnaît Christian Morel, le responsable de la distribution et de l’allotissement. « Les cuisiniers ne se sont plus retrouvés au piano. Les méthodes de travail ont permis d’apporter une qualité rigoureuse et identique quel que soit l’agent qui cuisine. » De même, le principe de la marche en avant n’a pas été si simple à faire passer. « Tous les jours, il a également fallu expliquer aux agents le pourquoi de la marche en avant. Et leur dire qu’ils ne pouvaient plus se rendre dans une autre pièce pour discuter avec un collègue. »

Le respect du principe de traçabilité a été un autre point marquant de l’organisation rénovée. La traçabilité a d’abord été valable pour les agents dont les plannings et les postes sont enregistrés. Les matériels équipés de sondes ont également permis d’assurer un suivi des produits avec un logiciel informatique, au niveau des températures. L’UPC réfléchit même à un nouveau système de GPAO qui gèrerait un code barre afin d’identifier la vie de la production du produit jusqu’au lit du patient.

Equipements adaptés

L’électricité acheminée par des rampes aériennes, comme les fluides, permet d’alimenter ces matériels. Ceux-ci, à l’exception des fours, sont devenus mobiles. Afin de répondre à plusieurs objectifs : le déplacement des appareillages pour les laver dans la zone de lavage (canon à mousse) ou l’ergonomie

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