a abandonné en avril le paiement par ticket au profit du badge susceptible d’être «alimenté» auprès de trois postes d’approvisionnement. Pour le gérant, c’est un très bon point quant à la traçabilité des opérations. Et de rappeler qu’à l’instar de tout restaurant administratif, obligation est faite de vendre une prestation basée sur «un repas équilibré qui comprend un plat de résistance et deux périphériques». Le prochain important changement au sein du RIL concernera la remise aux normes de la cuisine ardemment souhaitée par la Direction des Services Vétérinaires. Un projet est à l’étude pour une cuisine de 500 m2 fabriquant une moyenne de 1200 repas/jour. Celui-ci intègre la rénovation de la vaste salle. «Pour l’heure, nous veillons en permanence à appliquer l’HACCP, même si l’actuelle configuration de la cuisine ne permet pas de respecter tous les aspects de cette démarche. Nous sommes toutefois au point en terme de traçabilité : contrôles des arrivées marchandises, de la fabrication, plan nettoyage…», assure Jean-Marc Goddéris.