Restauration Collective

ÊTRE À LA POINTE DE LA TECHNICITÉ

La restauration représente 850 à 900 repas/jour produits dans la cuisine centrale pour le scolaire, le personnel communal, les enseignants et directions d’établissements (liaison chaude dans les salles attenantes), le portage à domicile et ponctuellement un foyer de personnes âgées. Pour la gestion des menus, Bruno Montuelle a changé de logiciel depuis un peu plus d’un an. Il apprécie la richesse de la base de données d’Aidomenu. «J’avais besoin d’un logiciel plus performant sur la technicité, la production, pour me décharger d’une partie de mon travail car j’étais de plus en plus occupé». S’il réalisait jusqu’à maintenant les menus à la semaine, pour une plus grande souplesse, à partir de cette année il passe en marchés. Les achats, les produits vont donc évoluer et l’équipe va devoir s’adapter. Originaire de la région parisienne et titulaire d’un CAP-BEP cuisine, il a d’abord travaillé en restauration traditionnelle avant de présenter sa candidature à la mairie de Paray-Vieille-Poste pour le poste de chef de cuisine. Il pensait y rester trois ou quatre ans, c’était en 1985…

valoriser les équipes

«C’était mon premier poste de chef, avec déjà une cuisine centrale. J’ai eu ces responsabilités à

21 ans. C’était pour moi une opportunité, il a pourtant fallu essuyer des critiques à l’époque, les détracteurs de la collectivité nous voyaient comme des ouvreurs de boîtes. Mais la mairie était attachée à une restauration traditionnelle, et mettait les moyens financiers. J’ai compris que j’avais fait le bon

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