d’éducation alimentaire particulièrement importante» et, par ailleurs, «nous sommes dans un système concurrentiel face par exemple au McDo, nous devons donc leur donner envie de manger chez nous». Et Jean-Lou Germain d’ajouter : «nous attendons beaucoup de ce PNNS comme un outil à notre disposition, un outil à exploiter».
Cette journée, qui s’est poursuivie l’après-midi par des tables rondes sur la restauration scolaire et la restauration hospitalière, a également été marquée par la signature de la Convention nationale de partenariat entre Interbev et le CCC France. «Une démarche d’information du consommateur», et une initiative pour que «les deux maillons se connaissent mieux pour faire passer le message d’une meilleure connaissance des produits», afin également «de mieux les présenter et d’effectuer des achats adaptés». Car l’alimentation, en général, et la restauration collective, en particulier, ne sont rien moins qu’une chaîne, «nous sommes tous liés les uns aux autres». Ce partenariat se traduira par «un tour de France entre Interbev et le CCC en direction des responsables de la restauration collective», afin de «proposer des outils exploitables». Un cahier des charges-type devrait par exemple être élaboré.