Restauration Collective

DES AXES DE PROGRÈS POUR LA PROFESSION

Laure Souliac, du ministère de l’Agriculture et de la Pêche, a rappelé les axes stratégiques du PNNS1 et 2 : informer et orienter sur l’alimentation et la nutrition, mettre en place des mesures de prévention de l’obésité, des systèmes de surveillance alimentaire et nutritionnelle de la population, impliquer les industriels de l’agroalimentaire et la restauration collective, mettre l’accent sur l’activité physique, etc. Différentes actions ont déjà été menées et d’autres sont prévues : inciter les opérateurs économiques à formaliser des engagements de progrès nutritionnel sur leurs produits (pour baisser le taux de sel, de sucre… Chartes avec référentiels, engagements précis, chiffrés, vérifiables), mise en place de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (le lancement officiel a eu lieu au Sial en octobre), accessibilité aux fruits et légumes (une expertise sur les freins à la consommation a été demandée à l’Inra en 2006), aide alimentaire, actions en restauration collective («Un fruit pour la récré», nouvelles recommandations nutritionnelles du GEMRCN en 2007, bio, renforcement de l’amélioration des servis aux personnes âgées…). La conclusion de Laure Souliac : une approche alimentaire globale (santé, plaisir, goût, convivialité), une politique concertée et évaluée, une communication non anxiogène, un plan national décliné en région.

Un outil pratique

Michel Denoyelle (Interbev) a pour sa part évoqué la qualité de la viande pour le consommateur et présenté les points-clés du cahier des charges en RHD pour la viande bovine. Les attentes en matière de qualité sont «différentes selon le

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